Historique du projet A 104

L'autoroute A 104, projet initialement dénommé A 88, porté sur les cartes Michelin dans les années 1950 comme simple desserte entre l'autoroute A13 - Autoroute de Normandie- et CERGY, a changé d'appellation en 1991 pour devenir A 184, voie de 22 kilomètres à grande circulation.

2009 : Création du « Comité de suivi du projet de prolongement de la Francilienne dans l’ouest parisien »

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Le 18 février 2009 : une délégation du COPRA composée de cinq personnes rencontre le maire de Carrières sous Poissy, Monsieur Eddie Aït, en mairie, afin de faire le point sur le dossier A104.

Le 23 mars 2009 : se tient la première réunion du premier « comité de suivi sur le prolongement de la Francilienne », comité prévu par décision ministérielle du 24 octobre 2006, suite au Débat public. Cette réunion a lieu sous la présidence du Préfet de la Région Ile de France, Monsieur Daniel Canepa.

2008 : Un nouveau paysage politique dans la partie sud du tracé vert de l’A104 : création du « Comité de liaison contre l’A104 »

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Le vendredi 11 janvier 2008 : une délégation du COPRA (accompagnée d'autres associations : « A12 non merci », « Jade », « Sauvons les Yvelines », « Union des Amis du Parc ») est reçue  à la Préfecture de Versailles par  le Préfet, Monsieur Christian GAILLARD de LAVERNEE.

2007 : L’écologie politique mise à mal par l’Etat

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Quelques citations d'actualité pour le cadrage du projet A104

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> Déclaration du Président de la République - Appel de Paris  (3 Février 2007)

"Nous nous engageons à faire le choix d'une autre croissance, une croissance écologique, le choix d'une économie mise au service du développement durable ... nous récusons un modèle fondé sur le gaspillage effréné des ressources naturelles et la pollution toujours plus grave de la planète. "

 

2005 : En route vers le Débat Public, la mobilisation redémarre

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Le 20 Janvier 2005, le COPRA184 rencontre Christian LEYRIT, Préfet du Val d'Oise, et ancien Directeur des Routes à l'Équipement, farouche partisan du programme 'tout-autoroutier' français. La réunion permet au COPRA184 de constater le fossé qui existe entre les populations et leurs élus, et ce parangon de la Haute Administration de l'Etat.

2001 : Le silence de l’Etat … et la concertation ? Le COPRA184 fait le bilan de dix ans de combat

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Le 22 Janvier 2001, le COPRA184 demande à rencontrer le nouveau Directeur Régional de l'Équipement d'Ile-de-France (DREIF), Bertrand MEARY, pour planifier la poursuite de la concertation. Pas de réponse....

Le 12 Juin 2001, sans réponse de la DREIF et du Ministère de l'Équipement, le COPRA184 écrit à Lionel JOSPIN, Premier Ministre, pour appeler à l'organisation de la concertation promise.

2000 : Le silence de l’Etat … avec la promesse d’une concertation.

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En Mars 2000, le COPRA184 demande à rencontrer à nouveau Jean-Claude GAYSSOT, Ministre de l'Équipement, dont on est sans nouvelle un an après la fin de l'expertise sur le bouclage alternatif de la Francilienne. Cette demande s'accompagne de lettres de soutien de la part de toutes les municipalités du Comité de Communes et du Président du CRIF Jean-Paul HUCHON.

1999 : Le silence de l’Etat …

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L'Assemblée Générale Annuelle du COPRA184, qui devait se tenir début Décembre 1998 est reportée dans l'attente imminente des conclusions de l'expertise de la DREIF ... qui n'arriveront jamais. L'Assemblée aura finalement lieu en Février 1999. Le Ministère avancera les ennuis de santé de Gilles RICONO pour justifier l'absence de publication du rapport d'expertise.

1998 : Expertise d’une solution alternative dans le fuseau Nord-Ouest

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Les 13 et 20 Janvier 1998, le copra184 se rappelle au bon souvenir des Maires de Conflans-Sainte-Honorine et de Chanteloup, MM. HUCHON et CARDO, lors de leurs réceptions de Nouvel An. Il réaffirme son refus des tracés en zones urbaines et son exigence pour une véritable concertation à l'initiative du Ministre. Des réunions publiques sont à nouveau organisées dans les villes concernées.

Le 20 Janvier 1998, le COPRA184 est une nouvelle fois reçu par Alain RICHARD, à la Mairie de St Ouen l'Aumône.

1997 : Un nouveau combat en contexte électoral - 3ème annulation du tracé dit « historique »

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Fin janvier 1997, le Ministre Bernard PONS confirme par une lettre de mission adressée à la DREIF et aux Préfets des Yvelines et du Val d'Oise sa décision concernant le choix du tracé 'historique' vieux de 30 ans à travers les zones urbanisées de la Boucle de Chanteloup. Il engage une procédure de Projet d'Intérêt Général (P.I.G.) destinée à pré-empter toute obstruction de la part des élus locaux concernés par le tracé.

Le COPRA184 dénonce dans un communiqué de presse cette décision contraire aux engagements antérieurs de l'Etat.

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